Nous voilà de nouveau plongés dans l’univers de Florence + The Machine. Les pièces indie rock réunies ici s’illustrent par leur subtilité et leurs ardeurs tempérées. Florence Welch pousse parfois sa voix jusqu’aux étoiles, comme sur la splendide « The End of Love ». Toute en vulnérabilité, la meneuse du groupe ouvre son cœur et son âme comme jamais, notamment sur « Hunger ». Le piano dramatique de « Big God » vous hantera dès la première écoute, alors que les cordes et la batterie pulsante de « Patricia » vous soulèveront. Un album cathartique, autant pour la chanteuse que pour ses fans.