Après avoir connu le succès en pleine époque yéyé, Sheila prend le train disco en marche à la fin des années 70. Assistée par les B. Devotion, un groupe de choristes et de danseurs américains, elle chante des refrains sur la joie de vivre, chantés pour la première fois en anglais. Le tourbillon luxuriant de boucles, de percussions et de filtres est orchestré par le producteur Claude Carrère. Lancée dans l’anonymat le plus complet, cette reconversion taillée pour les pistes de danse marque aussi le début de sa carrière internationale.